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En juin 2015, au Burundi, les manifestations contre le troisième mandat de Pierre Nkurunziza rassemblent des milliers de personnes dans les rues de Bujumbura. Alors que le réalisateur est au milieu des manifestants en train de filmer les premières exactions et les premières victimes, il est séparé de sa famille. Face à la violence et aux risques pris en continuant à faire des images, il est obligé de fuir son pays.

avec Emílio Bila, Wilton Boene, Medianeira Massingue

Basé sur la nouvelle de Mia Couto, écrite en 1986, O Dia Em Que Explodiu Mabata Bata (Le jour où a explosé Mabata Bata), ce film raconte l’histoire d’Azaria, un jeune berger orphelin, qui rêve d’aller à l’école mais doit garder le troupeau de son oncle Raul. Le plus bel animal, Mabata Bata, est destiné à payer la dot de la fiancée de Raul. Un jour, le boeuf s’éloigne du troupeau et explose sur une mine, laissée par les combattants d’une guerre civile qui dévaste le pays. Craignant les représailles de son oncle, le jeune homme s’enfuit dans la forêt…

Depuis 2009, la réalisatrice est allée à la rencontre de ceux que l’on ne filme jamais en Afrique, ceux dont on a peur ou honte, ceux qu’on appelle les « fous ». Souvent impuissantes face à la maladie, leurs familles cherchent dans toutes les méthodes modernes, traditionnelles ou religieuses une hypothétique guérison. La caméra les suit dans leur quête désespérée, interrogeant tous les praticiens qu’ils soient guérisseurs, médecins, pasteurs ou imams. De cette expérience personne ne ressort vraiment indemne…

Retrouvez toutes les photos du Festival par jour

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Algérie, France, Allemagne | 2017 | fiction | 113’ | VOFR et VO ST FR | 12/14

Aujourd’hui, en Algérie, trois histoires, trois générations. Mourad, promoteur immobilier divorcé, sent que tout lui échappe. Aïcha, une jeune fille, est tiraillée entre son désir et un autre destin. Dahman, neurologue, est soudainement rattrapé par son passé, à la veille de son mariage. Dans ces vies bousculées qui mettent chacun face à des choix décisifs, passé et présent se télescopent pour raconter une Algérie contemporaine, lasse et désabusée…

Dans le domaine du documentaire, la VR a le vent en poupe grâce à sa puissance immersive. Outre les organisations internationales, des journalistes ou des collectifs investissent le domaine et proposent une lecture nouvelle qui donne à voir une Afrique forte, jeune et combattive.

Aljazeera Contrast
En 2017, la chaîne qatarie lance un programme dédié à la VR documentaire. Les films révèlent des situations difficiles et mettent à l’honneur les solutions engagées et l’incroyable vitalité du continent africain.

The Disappearing Oasis | 2018 | 6’
Halim Sbai organise chaque année la plantation de palmiers pour sauver l’oasis marocaine M’hamid d’une lente désertification.

Oil in Our Creeks | 2018 | 8’
Lessi Phillips n’avait que 16 ans lorsque la marée noire a radicalement changé la vie de sa communauté. Le film montre deux réalités, l’une filmée, l’autre dessinée.

Bangui’s Makongo | 2017 | 2’
Les chenilles, appelées « Makongo » sont considérées comme une délicatesse en Centre Afrique.

Seeker VR
Ce collectif, composé de créatifs venus issus des grands médias traditionnels se veut éducatif mais jamais ennuyeux.

Ce que l’Occident ignore de la classe moyenne africaine | 2016 | 6’
Immersion dans la classe moyenne à Dar es Salaam en Tanzanie, pour changer notre perception de l’Afrique.

Films humanitaires
Depuis quelques années les organisations internationales et les ONG utilisent la puissance du VR pour susciter l’intérêt pour leur cause.

Maison sans fenêtres | 2017 | 14’
Mêlant dessins, photos et vidéo 360°, cette création nous immerge dans la vie des enfants victimes de la crise en République centrafricaine. Ce travail est soutenu par la Fondation Hirondelle et RadioNdeke Luka.

VR Evasion
Dans un tout autre style, la fiction et le documentaire animalier nous fait voyager au coeur du continent pour un dépaysement total.

Nairobi Berries | 2017 | 7’
Premier film de fiction VR du Kenya réalisé, tourné et animé par Ng’endo Mukii Mukii.

Exodus: The Great Migration | 2017 | 8’
Le documentaire nous plonge dans la grande migration annuelle des gnous, gazelles et zèbres à travers les plaines du Maasai Mara et du Serengeti.

Cette année, le Festival propose aux visiteurs de venir prendre la pose dans un studio photo inédit installé au cœur de l’exposition et de repartir avec une photo prise par l’artiste.

SA | 16h00-18h00
DIM | 13h00-15h00

CAFÉ-RENCONTRE
La discussion sera animée par Thierno I. Dia, rédacteur du site d’information et de critique sur les cinémas africains Africiné (www.africine.org), chercheur et enseignant en cinéma.

TABLE RONDE: LITTÉRATURE ET CINÉMA
Le débat sera animé par Sol de Carvalho Réalisateur mozambicain, Max Lobe Ecrivain camerounais, Baba Diop Journaliste, critique et enseignant et Christine Le Quellec Cottier Maître d'enseignement et de recherche

Organisées annuellement depuis 2003 par l’association Project’heurts, les Rencontres Cinématographiques de Bejaia sont la plus ancienne manifestation cinématographique internationale en Algérie. Elles ont pour objectif de réconcilier le public algérien avec le cinéma en lui proposant des films récents en provenance de plusieurs pays. Ces rencontres offrent un espace d’échange et d’expression aux professionnels du cinéma et aux spectateurs pour voir des films ensemble, débattre de problématiques esthétiques, techniques et économiques propres au cinéma et envisager le développement d’actions cinématographiques.

Les RCB ont l’ambition de développer un esprit critique face à l’image (éducation à l’image) et proposent des formations ponctuelles (écriture de scénario, réalisation, animation de ciné-clubs…). Elles sont aussi actives au sein d’un réseau de ciné-clubs et d’associations de cinéma.

Je te promets | Salon bleu | VE 24 | 18h30
Jusqu'à la fin des temps | Cinématographe | SA 25 | 17h00
La Vague (Lmuja) | Salon bleu | VE 24 | 18h30
That Lovely Life | Salon bleu | VE 24 | 18h30

Cette année nous accueillons le photographe kenyan Osborne Macharia, figure de proue de la photo afrofuturiste!

Venez découvrir son travail du 23 au 26 août dans le hall du Casino de Montbenon mais aussi en extérieur!

Vous pourrez également découvrir notre studio photo, être habillé par le styliste Kevo Abbra et repartir avec une photo prise par l'artiste!

Nous sommes très heureux d'annoncer que le film RAFIKI de la réalisatrice kenyane Wanuri Kahiu ouvrira le 13e Festival cinémas d'Afrique - Lausanne, en présence de l'actrice Samantha Mugatsia!

Rendez-vous jeudi 23 août à 21h00 au Théâtre de Verdure pour cette projection en avant-première suisse!

Découvrez la bande-annonce : https://www.youtube.com/watch?v=CZ0dyVPRQ3Q

Kenya, Afrique du sud | 2018 | fiction | 82’ | VO ST FR | 14/16 avec Samantha Mugatsia, Sheila Munyiva, Dennis Musyoka

Synopsis
À Nairobi, Kena et Ziki mènent deux vies de jeunes
lycéennes bien différentes, mais cherchent chacune
à leur façon à poursuivre leurs rêves. Leurs chemins
se croisent en pleine campagne électorale au cours
de laquelle s’affrontent leurs pères respectifs. Amoureuses
l’une de l’autre dans une société kenyane conservatrice,
les deux jeunes femmes vont être contraintes de choisir
entre amour et sécurité...

Toute l'équipe du festival est heureuse de vous présenter, encore cette année, un magnifique panel de films africains fait de nombreuses avant-premières Suisses et Européennes en exclusivité !

19H00 "Mustafa Z" de Nidhal Chatta
Tunisie | 2017 | fiction | 81’ | VO ST FR | 12/14 ans

21H00 Sofiane Saidi & Mazalda
Algérie/FranceLe Cinéma CityClub et le Festival cinémas d'Afrique - Lausanne se lient une nouvelle fois et proposent une soirée « Film et concert » autour du Maghreb d’hier et d’aujourd’hui avec l’étincelant collectif franco-algérien Sofiane Saidi & Mazalda, précédé du film tunisien Mustafa Z de Nidhal Chatta

Mustafa Z مصطفى زاد de Nidhal Chatta
Cette comédie dramatique retrace vingt-quatre heures de la vie d'un Tunisien ordinaire, Mustafa, en prise avec l'absurdité du système. Nous sommes à la veille des premières élections présidentielles libres, une échéance cruciale pour la jeune démocratie tunisienne. Mustafa entretient une relation tumultueuse avec son fils adolescent et son épouse qui lui reprochent son manque d'ambition et son caractère effacé...

Sofiane Saidi & Mazalda
Cet orchestre puise dans le raï, la musique traditionnelle berbère, mais également dans les sonorités pop et psychédéliques. Férus de vieilles K7 des années 1980 et de synthés vintage qui donnent à leur son une belle patine, leur musique fait aussi de joyeux allers-retours avec le Mbalax sénégalais et des notes venant du Sahel. Toujours prêts à expérimenter et à rendre leur musique libre et dynamique, les six musiciens font appel au crooner algérien Sofiane Saidi, dont la voix embrase ce voyage auditif et dansant.

Informations pratiques:

Ouverture des portes: 18h30
Film: 19h, Concert: 21h
Tarifs: 25.- / 20.- (membres, étudiants, avs, ai, ri, ac, carteculture)
Achat de billets en ligne sur http://bit.ly/BilleterieCityClub
Petite restauration sur place.

Cinéma CityClub
Avenue de Lavaux 36
1009 Pully

Tunisie | 2016 | fiction | 85’ | VO ST FR | 12/14 ans

L’histoire retrace, au travers d’images « flashback », le vécu commun de trois individus : une journaliste, une jeune artiste franco-tunisienne et un adolescent issu d’un quartier populaire, âgé de 16 ans à peine, réunis en cette nuit sombre et violente du 14 janvier 2011. Trois années plus tard, ce dur passé poursuit et hante ces jeunes ; il aura d’ailleurs des répercussions graves sur leur destin.

Bande annonce : http://bit.ly/demainlotfiachour

Rendez-vous le 27 avril à 17h00 pour découvrir SARAFINA de Daniel Roodt, et le 29 avril à 15h30 pour MORE THAN JUST A GAME de Junaid Ahmed.

En l’honneur du 100e anniversaire de la naissance de Nelson Mandela, premier président noir de la République Sud-africaine, il vous invite, en partenariat avec Art Cane Makoaba, à voir deux films illustrant la résistance et la lutte contre la politique de discrimination raciale de l’apartheid.

Vendredi 27 avril 2018 à 17h00 - SARAFINA de Darrell Roodt.
Afrique du Sud, 1992, comédie musicale dramatique, 1h57, VO ST FR, 12 ans
A travers l’histoire de la jeune Sarafina, ce film musical raconte le rôle clé qu’ont joué les enfants, particulièrement courageux, dans la lutte contre l’apartheid en Afrique du Sud et le processus qui a abouti à la libération de Nelson Mandela.

Dimanche 29 avril 2018 à 15h30
MORE THAN JUST A GAME (PLUS QU’UN SIMPLE MATCH) de Junaid Ahmed.
Afrique du Sud, 2007, drame et sport, 1h30, VO ST FR, 10 ans

Années 60, Robben Island, la tristement célèbre prison du régime de l’apartheid en Afrique du Sud. Les détenus politiques, malgré les violences et les privations de toutes sortes, gagnent, après trois ans de lutte, le droit de jouer au football. Ils créent une ligue reconnue par le FIFA. Une belle victoire pour le sport et contre le système pénitentiaire de l’apartheid !

Prix : Adultes : 12.– CHF
Chômeurs, AVS, étudiants : 10.– CHF
Enfants (jusqu’à 12 ans) : 8.– CHF

Niger | 2016 | documentaire | 54’ | VO FR et VO ST FR | 16/16 ans

Dans la ville d’Arlit au nord du Niger, AREVA exploite l’uranium depuis 1976. Aujourd’hui une grande partie de cette région est contaminée. La radioactivité ne se voit pas et la population n’est pas informée des risques qu’elle encourt.

Bande annonce : https://vimeo.com/152132053

Visions Du Reel, Festival international de cinéma de Nyon, vous attend pour sa 49ème édition dès le 13 avril !
9 jours de Festival pour découvrir 174 films documentaires de création de 53 pays, dont 78 premières mondiales et 23 premières internationales, 2 européennes et 42 premières suisses.
Et aussi: des soirées DJs et concerts (entrée libre) qui rassemblent tous les soirs festivaliers et réalisateurs du monde entier dans une ambiance chaleureuse.

Programme complet sur

Source: Thierno I. Dia - Images Francophones

Le Festival du film africain de Louxor (Luxor African Film Festival - LAFF 2018) a eu lieu du 16 au 22 mars 2018. De nombreux films soutenus par le Fonds Image de la Francophonie ont remporté plusieurs prix.

Ainsi, le film Benzine réalisé par la Tunisienne Sarra Abidi a décroché deux prix : celui de la Meilleure distinction artistique en Long métrage fiction (Masque de bronze du roi Toutankhamon) pour l'actrice l'impressionnante Sondos Belhassen et le Prix Radwan El-Kashef de la Fondation Shabab Indépendante (Masque d'Or du Roi Tut).
Outre la Mention spéciale pour un long métrage pour Frontières (Borders) de la Burkinabèe Apolline Traoré dans la Compétition Libertés et droits de l'homme, le grand prix dans la même section a été décerné à Vent du Nord du Tunisien Walid Mattar (Masque d'or du roi Tût).
En documentaire également le grand Prix est revenu à un film du catalogue francophone : Maman Colonel du Congolais Dieudo Hamadi (Grand Prix du Nil). Le Prix Paulin Vieyra du jury de la critique africaine qui était prévu (puis annulé au dernier moment par le festival) a été finalement remplacé par le Prix Samir Farid de l'Association égyptienne des critiques ; c'est Wallay du Burkinabé Berni Goldblat qui a recueilli les suffrages critiques.
Le Grand Prix du Nil en Long métrage fiction qui est le titre majeur du festival a été remis à l'Egyptien Marwan Hamed pour son nouveau film Les Originaux (The Originals).

Le Palmarès complet du LAFF 2018:

• Mention spéciale Courts métrages (Certificat) : Compagnonnage - Ahmed Nader - Egypte
• Grand Prix du Nil Courts métrages (Masque d'Or du Roi Tut 1500 $) : Panthéon - Ange-Régis Hounkpatin - Bénin
• Prix du jury Courts métrages (Masque d'argent du roi Tut 500 $) : Nice Very Nice - El Kheyer Zidani
• Meilleure distinction artistique Courts métrages (Masque de bronze du roi Tut Certificat) : Imfura - Samuel Ishimwe - Rwanda
• Mention spéciale pour un long métrage (Certificat), Compétition Libertés et droits de l'homme : Frontières (Borders) - Apolline Traoré - Burkina Faso
• Long métrage fiction (Masque d'or du roi Tut 1 000 $), Compétition Libertés et droits de l'homme : Vent du Nord - Walid Mattar - Tunisie / France / Belgique
• Long documentaire (Masque d'Argent du Roi Tut 700 $), Compétition Libertés et droits de l'homme : Liyana - Aaron Kopp et Amanda Kopp - États-Unis / Swaziland
• Court métrage (Masque de bronze du roi Tut 500 $), Compétition Libertés et droits de l'homme : Hors Chemin - Julie Jouve & Rida Belghiat - France / Algérie
• Prix Samir Farid de l'Association égyptienne des critiques : Wallay - Berni Goldblat - Burkina Faso / France
• Prix STEP pour le développement d'un long film fiction (5 000 $) : le projet You Will Die at Twenty, coproduction égypto-soudanaise, réalisé par Amgad Abo El Alaa et produit par Hossam Elwan
• Prix Radwan El- Kashef de la Fondation Shabab Indépendante (Masque d'Or du Roi Tut 1000 $) : Benzine - Sarra Abidi - Tunisie
• Grand Prix du Nil (Masque d'Or du Roi Tut 10 000 EGP), jury étudiants : Dans l'inverse (Into Reverse) - Noha Adel
• Prix du jury étudiants (Masque d'argent du roi Tut 8000 EGP) : Pris oralement (Taken Orally) - Ibrahim Omar Saleh
• Meilleure distinction artistique (Masque de bronze du roi Tut Certificat), jury étudiants : Jomar - Ibrahim Farag Ali
• Mention spéciale documentaire (Certificat) : Soeur Courage - Salim Trabelsi & Latifa Doghri
• Grand Prix du Nil documentaire (Masque d'Or du Roi Tut 1500 $) : Maman Colonel - Dieudo Hamadi - Congo
• Prix du jury documentaire (Masque d'argent du roi Tut 1000 $) : Waithira - Eva Munyiri - Kenya
• Meilleure réalisation artistique documentaire (Masque de bronze du roi Tut Certificat d'appréciation) : Nouvelle Lune (New Moon) - Philippa Herrmann - Kenya
• Grand Prix du Nil Long métrage fiction (Masque d'Or du Roi Tut Trophée du Centre Arabe Africain 2 000 $) : Les Originaux (The Originals) - Marwan Hamed - Egypte
• Prix du jury Long métrage fiction (Masque d'argent du roi Tut 1 000 $) : Keteke - Peter Sedufia - Ghana
• Meilleure distinction artistique en Long métrage fiction (Masque de bronze du roi Tut Certificat) : l'actrice Sondos Belhassen, pour le film Benzine - réalisé par Sarra Abidi - Tunisie

Guidé par Vestine, star des nuits radiophoniques, le film part à la découverte de la sexualité rwandaise, particulièrement celle des femmes, et du mystère de cette eau sacrée qui peut jaillir de leurs corps.
Le public occidental est ainsi confronté à sa propre intimité grâce à cette enquête sur le thème du plaisir féminin.

Bande annonce:
https://www.youtube.com/watch?v=Cm5XNNNH4Zk

La 16ème édition du FIFDH aura lieu du 9 au 18 mars prochain à Genève pour 10 jours passionnants, dédiés aux droits humains et au cinéma, avec plus de 250 invité.e.s de haut niveau, 45 films, 30 débats et discussions et 55 lieux.

http://www.cine-afrique.ch/13eme-festival-cinemas-d-afrique-lausanne-appel-a-films-call-for-entries-fr11489.html

Ali éprouve un amour plutôt inconditionnel pour sa chèvre Nada mais hélas il est incompris par son entourage.
Ibrahim lui est ingénieur du son et victime d’acouphènes effrayants. Tous deux rencontrent un guérisseur qui leur propose un remède inédit qui va les emmener dans un voyage initiatique à travers l’Egypte

Bande annonce:
https://www.youtube.com/watch?v=HWeSmn4UYWc

Entrée Libre, Chapeau

Il reste l’un des cinéastes africains les plus marquants de sa génération. Son apport au cinéma mondial est considérable. Idrissa a inspiré, accompagné toute une génération de cinéastes. Auteur des remarqués Yam Daabo (1986), Yaaba (1989), Tilaï (1991), Samba Traoré (1992), Le cri du coeur (1994), Kini et Adams (1997), l'un des courts-métrages du film collectif 11'09"01 - September 11 (2002) et producteur de la série à succès Kadi Jolie.

Toutes nos pensées à sa famille, à ses proches et à la grande famille des cinémas d'Afrique.

bande annonce: https://www.youtube.com/watch?v=ryW_1fe_9BY

I AM NOT A WITCH
(Zambie, France, 1h34)
Shula, 9 ans, est accusée de sorcellerie par les habitants de son village et est envoyée dans un camp de sorcières. Entourée de femmes bienveillantes, condamnées comme elle par la superstition des hommes, la fillette se croit frappée d'un sortilège: si elle s'enfuit, elle sera maudite et se transformera en chèvre... Mais la petite Shula préfèrera-t-elle vivre prisonnière comme une sorcière ou libre comme une chèvre?
Librement inspiré du conte "La Chèvre de Monsieur Seguin" d'Alphonse Daudet, "I Am Not a Witch" a été une véritable révélation lors du dernier Festival de Cannes, remarqué par sa liberté de récit et par le jeu époustouflant de la petite Margaret Mulubwa.
«L'on se dit qu'on tient en Rungano Nyoni, sous le signe de l'élégance graphique et de l'humour fin, une belle promesse de cinéma. Son film, tourné avec des non-professionnels, est un conte moderne sur une croyance ancienne, tout son intérêt venant de là, de cette manière incisive et tendre à la fois d'aborder un système dont on s'est émancipé, sans pour autant cesser de s'y référer et de le critiquer» (Le Monde).

RUNGANO NYONI
Née en Zambie, Rungano Nyoni a grandi au Pays de Galles et vit au Portugal. Elle est diplômée de l'Université de Birmingham et a suivi une formation d'actrice à l'University of Arts de Londres. En 2010, elle réalise son premier court-métrage, "The List", et remporte un BAFTA. Puis, son court-métrage "Mwansa The Great" est sélectionné dans plus de 100 festivals et remporte plus de 20 prix. Elle co-écrit ensuite le court-métrage "The Mass of Men" qui remporte le Léopard d'Or au Locarno Festivalo en 2012. Son dernier court-métrage, "Listen", qu'elle co-réalise dans le cadre du programme «Nordic Factory» de la Quinzaine des Réalisateurs, remporte notamment un prix à Tribeca et est nommé aux Oscars. "I Am Not a Witch" est son premier long-métrage; développé au sein de la Résidence de la Cinéfondation, le film est en sélection à la Quinzaine des Réalisateurs au Festival de Cannes 2017 et fait la clôture de la section Discovery du Festival de Toronto 2017.

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INFOS PRATIQUES
Ouverture des portes: 18h
Projection, suivie d'une discussion: 18h30
Tarifs: 15.- (plein) / 12.- (étudiants, avs, ai, ri, ac, carteculture) / 10.- (membres)
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Toutes les projections du film en février au Cinéma CityClub:
[http://bit.ly/2DuJNMl|Toutes les projections du film en février au Cinéma CityClub:
http://bit.ly/2DuJNMl]